Hayti.net
Un site d’informations et d’analyses
  • Ayiti
  • Onè
  • Articles .-
  • Révolutions *
    • Visualiser
    • Révolution
    • BWA KALE
    • Résistances D
  • Afriquqe
    • PanAfricanisme
    • Blog
    • Articles
      • PanAfrique
      • Citations
      • Hayti
    • Afrique
  • Utilisateurs
    • Connexion
    • Créer un compte
    • Formulaire Contact
    • Éditer articles
    • Inscription Newsletter
  1. Vous êtes ici :  
  2. Accueil
  3. Afriquqe
  4. Blog

La solution ne viendra plus de Paris

La solution ne viendra plus de Paris

Edit


Mali : La solution ne viendra plus de Paris

17 Fév 2023

De Kurukanfuga à la tribune des Nations-Unies, la grande marche du Mali et du Mandé vers la liberté et la dignité suit son cours. Dès l’aube des indépendances, la France appuyée par le bloc occidental avait fait le pari de produire pour les anciennes colonies des dirigeants assimilés et corrompus, véritables nègres de service.

C’est pourquoi tous les leaders africains qui avaient affiché une ambition souverainiste ont été combattus sans répit : Patrice Lumumba, Sylvanus Olympio, Kwamé N’Krumah, Sékou Touré, Modibo Kéita, Amilcar Cabral et plus récemment Muhammar Kadhafi. Si la lutte contre le communisme avait servi d’alibi au temps de la guerre froide, avec la chute du mur de Berlin la politique néocoloniale va apparaître dans toute son arrogance et sa laideur. Comment s’en étonner lorsqu’on connaît les raisons profondes de la conception, la mise en œuvre et l’exécution de la nébuleuse aventure coloniale ?

En effet, les anciens pays colonisateurs n’ont jamais accepté que l’homme africain, le noir, puisse s’émanciper et se conduire en être pensant et responsable. Certains présidents africains choisis sur mesure ont malheureusement contribué à donner du crédit à cette thèse loufoque teintée d’un profond mépris. Ainsi, en parlant de l’esclavage des nègres dans « L’esprit des Lois », Montesquieu persifle et ironise les esclavagistes : « On ne peut se mettre dans l’esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir ». Et que dire du manque de relativisme qui transpire abondamment dans les « Lettres Persanes » ? Pour couronner le tout, un homme d’Etat français, le nommé Jules Ferry, n’a-t-il pas justifié au 19èmesiècle la colonisation par le devoir pour les races supérieures de civiliser les races inférieures ? Les héritiers de Jules Ferry qui sont légion en Occident ne font qu’emboucher la même trompette, se contentant de changer d’habillage par endroits et par moments.

Même si les présidents qui se sont succédés à la tête de l’Etat malien de 1992 à 2020 n’ont pas lu Sénèque, ils savent tous ce qu’est le stoïcisme dont Assismi Goïta vient de nous sortir avec brio et sans aucune ambiguïté. Les maliens qui ne sont pas dupes savent pertinemment que la solution aux questions de développement ne viendra jamais ni de Paris ni des autres capitales occidentales qui vivent du système de prédation colonial et ont intérêt à son maintien ad vitam aeternam. En assassinant Kadhafi et en déstabilisant la Libye avec comme objectif l’implantation du terrorisme dans le Sahel, les bornes ont été franchies. A titre de rappel, le terrorisme contemporain est d’abord l’œuvre des mouvements d’extrême gauche des années 1970-80 et il est d’inspiration révolutionnaire pour contester l’ordre établi.

Un basculement important va se produire en pleine guerre froide en 1979, quand les Etats Unis ont soutenu et encouragé les combattants afghans contre les Soviétiques, alors même que les oulémas qui prônent le Jihad contre les Soviétiques sont du courant Salafiste ou Wahhabite. Les Soviétiques quittent l’Afghanistan en 1989. Les combattants afghans ainsi que d’autres aventuriers aguerris et désœuvrés vont porter le Jihad ailleurs au gré des fortunes. Lorsque les Etats Unis attaquent l’Irak en 2003 après les évènements tragiques du 11 septembre 2001, le terrorisme flambe au Moyen Orient et devient difficile à maîtriser.  Pour protéger les intérêts occidentaux, il fallait trouver le moyen de détourner les terroristes vers d’autres cieux et l’attaque de la Libye va les conduire au Sahel. Le reste de l’histoire est en train de s’écrire en lettres de sang sous les ailes d’une actualité macabre. Ce terrorisme n’est donc pas une génération spontanée.

Les terroristes qui sévissent dans le Sahel étant des instruments au service d’une recolonisation à peine voilée, d’autres choix de partenaires et d’options s’imposent aux pays ciblés pour être déstabilisés. L’industrie chinoise qui était taxée d’imiter grossièrement et de ne produire que de la pacotille brille désormais au firmament du commerce mondial. L’ours soviétique qu’on croyait à l’article de la mort a donné naissance à la Russie qui, militairement est devenue le cauchemar de l’Occident. Leur alliance stratégique avec d’autres pays émergents au sein du BRICS ouvre la voie à une nouvelle offre qui se positionne comme une alternative aux institutions de Breton Woods. Quelle aubaine pour les pays appauvris et endettés à dessein !

En Afrique, les « damnés de la terre » longtemps tenus à la gorge et dépenaillés sont en train de se réveiller, annonçant des moments d’incertitude pour leurs propres dirigeants. La France métropolitaine qui avait pu s’appuyer sur des politiciens chevronnés et sur ses affidés dans les anciennes colonies était parvenue facilement à faire main basse sur celles-ci. Aujourd’hui, le mal est en train de revenir à sa source. Les « missi dominici » de la France sont plus que discrédités auprès des peuples africains, tandis que l’offre politique en France même est devenue si médiocre après Mitterrand et Chirac que leurs successeurs peinent à s’imposer et à se faire respecter sur la scène internationale. On n’attrape pas les mouches avec du vinaigre, dit-on. Tant pis pour elle si la France ne change pas rapidement de logiciel, mais comment pourrait-elle le faire en restant aussi dépendante de l’OTAN, prête à la broyer dès qu’elle tentera d’en sortir ?          

Mahamadou Camara

Email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Diana Ivanovici Șoșoacă au Parlement roumain

par Jeanne traduction

« Depuis trois ans, nous vivons une véritable campagne de massacre à l’échelle mondiale, soit par de prétendues pandémies, soit par des guerres qui réduisent la population mondiale. »

Les objectifs stratégiques de la Russie – l’effondrement de l’empire américain

Les objectifs stratégiques de la Russie – en conséquence de l’effondrement de l’empire américain

8 février 2023

 

par Alastair Crooke

La faiblesse du leadership a soulevé le couvercle de la boîte de Pandore européenne.

La situation devient psychotique. Lorsque vous écoutez les dirigeants de l’UE, qui répètent tous comme des perroquets les mêmes « bonnes nouvelles », ils n’en dégagent pas moins une inquiétude fondamentale – sans doute le reflet du stress psychique lié au fait de répéter d’un côté « L’Ukraine est en train de gagner : La défaite de la Russie est proche », alors que, d’autre part, ils savent que c’est exactement le contraire qui est vrai : l’Europe ne peut en aucun cas vaincre une grande armée russe sur la masse continentale de l’Eurasie.

Même le colosse de Washington limite l’utilisation de la puissance militaire américaine aux conflits que les Américains peuvent se permettre de perdre – des guerres perdues face à des adversaires faibles que personne ne pourrait contester si le résultat n’était pas une perte, mais en quelque sorte une « victoire ».

Pourtant, la guerre contre la Russie (qu’elle soit financière ou militaire) est sensiblement différente de la lutte contre de petits mouvements insurgés mal équipés et dispersés, ou de l’effondrement de l’économie d’États fragiles, comme le Liban.

La fanfaronnade initiale des États-Unis a implosé. La Russie ne s’est pas effondrée en raison de l’assaut financier de Washington, ni n’a connu de changement de régime chaotique comme l’avaient prédit les responsables occidentaux. Washington a sous-estimé la cohésion sociétale de la Russie, son potentiel militaire latent et sa relative immunité aux sanctions économiques occidentales.

La question qui préoccupe l’Occident est de savoir ce que les Russes vont faire ensuite : Continuer à affaiblir l’armée ukrainienne, tout en déstockant les stocks d’armes de l’OTAN ? Ou déployer les forces offensives russes qui se rassemblent dans toute l’Ukraine ?

En bref, l’ambiguïté même entre la menace d’une offensive et sa mise en œuvre fait partie de la stratégie russe visant à maintenir l’Occident dans une situation de déséquilibre et de doute. Ce sont les tactiques de guerre psychologique pour lesquelles le général Gerasimov est renommé. Viendra-t-elle, d’où viendra-t-elle et où ira-t-elle ? Nous ne le savons pas.

Le timing de la Russie ne sera pas déterminé par le calendrier politique occidental, mais par le moment où, et si, une offensive devient propice aux intérêts russes. En outre, Moscou a l’œil sur deux fronts : la guerre financière (qui peut plaider en faveur d’un déploiement militaire plus lent pour permettre aux niveaux de douleur économique de s’accumuler) et la situation militaire (qui peut, ou non, favoriser l’extirpation lente et progressive de la capacité ukrainienne à se battre). L’ancien conseiller principal du secrétaire américain à la Défense, le colonel Douglas Macgregor, prévoit un déploiement de forces important, et ce dans un avenir proche. Il pourrait avoir raison.

Cette dernière considération doit être replacée dans un contexte plus large : La Russie est avant tout engagée dans le recul de l’hégémonie américaine et dans l’expulsion de l’OTAN du « Heartland » asiatique. Les Russes savent depuis un certain temps que le « système d’ordre mondial » n’est pas durable (les structures de l’après-Seconde Guerre mondiale sont déjà clairement visibles dans le rétroviseur). Et tant la Russie que la Chine savent qu’il n’y a pas de moyen gracieux – ou de raccourci – de défaire un système aussi vaste.

Ces derniers savent que l’Occident n’est pas digne de confiance et qu’il est destiné à tomber. Depuis quelques années, la Russie et la Chine restructurent leurs économies et renforcent leurs armées – se préparant ainsi à l’effondrement inévitable de l’empire américain (tout en croisant les doigts pour que cette « chute » n’entraîne pas l’apocalypse).

En pratique, la Russie et la Chine se sont efforcées de modérer cet effondrement, dans la mesure du possible. Personne ne profite d’une implosion incontrôlée des États-Unis. Cependant, les États-Unis vont trop loin avec leur projet ukrainien, et la Russie va utiliser ce conflit pour faciliter la fin de l’empire américain – il n’y a vraiment pas d’autre option.

Comme le souligne Kelley Beaucar Vlahos dans The American Conservative, les factions américaines préparent « l’enterrement » de la Russie depuis de nombreuses années. En effet, l’un des faits les plus préjudiciables qui ressortent de l’exposé de Matt Taibbi sur les « Twitter Files » est le suivant : « L’agressivité dont ont fait preuve les législateurs du Congrès et les responsables des agences fédérales dans la diffusion d’un récit cynique qui a mis le géant des médias sociaux au pied du mur, tout en créant le croque-mitaine russe qui hante aujourd’hui la politique étrangère et la posture des États-Unis dans la guerre en Ukraine ».

Cette histoire concoctée de la Russie essayant de détruire la démocratie américaine a amené le public à adhérer à une nouvelle guerre contre la Russie.

Ce combat existentiel ne peut pas s’arrêter maintenant : On pourrait dire que les Européens et les Américains sont dans une bulle où tout est optique et où « tout » est immédiateté des relations publiques et théâtre – et nous devons tous jouer ce jeu. Il se peut aussi qu’ils projettent le même esprit du temps sur les Russes et les Chinois, croyant qu’ils doivent penser de la même manière : Pas de valeurs, pas de croyance en quoi que ce soit, sauf ce qui passe le mieux sur les grands médias.

Vu sous cet angle, il s’agit véritablement d’un choc culturel, qui reflète l’incapacité de l’Occident à faire preuve d’empathie. L’Occident peut sincèrement penser que l’attention de Poutine se concentre avant tout sur l’audimat – tout comme c’est le cas pour Macron, Scholz et Biden – et que lorsque les hostilités prendront fin, les affaires continueront comme d’habitude. Ils peuvent sincèrement ne pas comprendre que ce n’est pas ainsi que le reste du monde pense.

Dans cet état d’esprit, il y a « la guerre, c’est du business… Beaucoup de chars, maintenant donnez-nous des F-16 ! » À peine les États-Unis, l’Allemagne et d’autres puissances de l’OTAN avaient-ils annoncé la livraison à l’Ukraine d’un grand nombre de chars d’assaut, que Kiev a immédiatement exigé la livraison d’avions de combat F-16. En effet, le responsable ukrainien de la défense, Yuriy Sak, a commenté avec effronterie la relative facilité du « prochain grand obstacle » que représente l’acquisition d’avions de combat F-16 :

« Ils ne voulaient pas nous donner d’artillerie lourde, puis ils l’ont fait. Ils ne voulaient pas nous donner des [missiles] HIMARS, alors ils l’ont fait. Ils ne voulaient pas nous donner de chars, maintenant ils nous en donnent. En dehors des armes nucléaires, il n’y a plus rien que nous n’obtiendrons pas ».

Il s’agit là d’un excellent exemple du syndrome de la « guerre en tant qu’entreprise » – et la politique consiste à amasser de l’argent. Cela signifie que les F-16 sont les prochains, et cela signifie la Pologne – les F-16 ne seraient pas basés sur une base aérienne en Ukraine. Et l’extension de l’espace de combat à la Pologne conduirait inévitablement à davantage de « guerre en tant qu’entreprise » : Chars, véhicules blindés de transport de troupes et F-16. Le complexe militaire se frottera les mains de joie.

Comme on pouvait s’y attendre, la frustration des fanatiques de la guerre face à l’incapacité collective de l’Occident à endiguer la marée de la défaite ukrainienne ne cesse de croître, et a été encore aggravée par le rapport de la Rand Corporation (financé par le Pentagone) de la semaine dernière, qui constitue une réfutation médico-légale de la justification de la guerre en Ukraine. Il souligne que, même si ce sont les Ukrainiens qui se battent, leurs villes rasées et leur économie décimée ne correspondent pas aux intérêts ukrainiens.

Le rapport avertit que les États-Unis devraient éviter « un conflit prolongé », déclarant que la victoire de l’Ukraine est « impossible » et « peu probable » – et met en garde de manière significative contre l’extension du conflit à la Pologne. L’éventualité que les États-Unis risquent de glisser par inadvertance vers une guerre nucléaire sur plusieurs « questions » est également soulignée.

Sur ce dernier point, le rapport Rand est prémonitoire : Cette semaine, le chef de la délégation russe à l’OSCE a publiquement averti que si des projectiles occidentaux perforants à l’uranium appauvri ou au béryllium étaient déployés en Ukraine – comme l’ont fait les États-Unis en Irak et en Yougoslavie avec des conséquences dévastatrices – la Russie considérerait un tel déploiement comme l’utilisation de bombes nucléaires sales contre la Russie, avec les conséquences qui s’ensuivent.

S’il y avait encore des doutes sur les « lignes rouges » russes et leur emplacement, il n’y en a plus maintenant. Pour être clair, « conséquences » signifie une éventuelle réponse nucléaire russe. L’Occident a été prévenu.

Si la frustration liée à l’échec du projet militaire ukrainien en est la « cause », le désespoir en est la conséquence.

« Comme vous, je suis, et je pense que l’administration est, très satisfaite de savoir que Nord Stream 2 est maintenant, comme vous aimez le dire, un morceau de métal au fond de la mer », a déclaré Victoria Nuland la semaine dernière. Cette déclaration montre l’impuissance, plus que toute autre chose (traduit, Nuland dit, OK les gars, nous ne sommes pas impuissants puisque – clin d’œil – nous avons quand même réussi à détruire le gazoduc pour l’UE).

Toute la campagne de relations publiques en faveur de l’envoi de chars supplémentaires ressemble davantage à une tentative de remonter le moral des Ukrainiens et de leurs partisans en Europe (étant donné que les chars ne changeront pas le cours de la guerre). Il en va de même pour les propositionspolitiques présentées par le secrétaire d’État, Blinken, et Victoria Nuland la semaine dernière. Elles semblent avoir été rédigées en sachant qu’elles seraient rejetées à Moscou – et elles l’ont été.

Pourtant, pour rendre justice à la combinaison Blinken-Nuland, si les néocons sont désespérants dans l’exécution de leurs projets de guerre – qui se terminent presque invariablement de manière désastreuse – ils sont brillants dans la manipulation des États pour qu’ils deviennent leurs complices – contrairement à leurs propres intérêts nationaux.

Là où les néoconservateurs ont eu les coudées franches, c’est sur la destruction de l’Europe, politiquement, économiquement et militairement. Les États-Unis eux-mêmes (et le reste du monde) doivent être absolument stupéfaits du degré de soumission de l’Europe et du contrôle absolu du leadership de l’UE que ces néoconservateurs ont exercé.

Les membres de l’OTAN n’ont jamais été fortement unis derrière la croisade de Washington pour affaiblir fatalement la Russie. La population de l’UE (en particulier les Français et les Allemands) n’a pas le goût des housses mortuaires. Mais les néoconservateurs ont correctement repéré le talon d’Achille européen : il s’agit de la Pologne, de la Lituanie, des autres républiques baltes et de la République tchèque. Les néocons américains se sont alliés à cette faction russophobe radicale qui veut démembrer et pacifier la Russie et s’emparer des leviers de la politique étrangère de l’UE au détriment de la France et de l’Allemagne. Ces dernières sont restées silencieuses et impuissantes à Bucarest en 2008, lorsque la « porte » de l’OTAN a été ouverte à la Géorgie et à l’Ukraine. Pourquoi n’ont-ils pas alors exprimé les réserves qu’ils disent avoir eues à l’époque ?

La faiblesse des dirigeants a soulevé le couvercle de la boîte de Pandore européenne, permettant à toutes les vieilles animosités européennes fantômes, aux jalousies et aux ambitions nues de s’échapper comme de sombres vapeurs. Y a-t-il quelqu’un qui puisse refermer ce couvercle maintenant ?

Alastair Crooke

source : Strategic Culture Foundation

traduction Réseau International

  1. Interactions 8 février 2023
  2. L’Occident contre le reste du monde

Page 241 sur 243

  • 234
  • 235
  • 236
  • 237
  • 238
  • 239
  • 240
  • 241
  • 242
  • 243

Main Menu

  • Home

Login Form

  • Mot de passe perdu ?
  • Identifiant perdu ?
  • Créer un compte

Sélectionnez votre langue

  • Français (France)
  • English (United Kingdom)

Main menu fr-FR

  • Home

Tags populaires

PanAfricanistes 3 Dans le monde entier 3 Préférences 3 Haiti 3

Articles récents

  • juillet 2025
    • Andreï Martianov : L'AXE MOSCOU-TEHERAN PLUS FORT QUE JAMAIS, L'Occident a PERDU ?
    • Coup de tonnerre: La Chine impliquée dans le financement du terrorisme au Sahel?
    • Nouvel ordre mondial : L’Iran signe avec la Russie et la Chine –
  • juin 2025
    • Important nouveau discours de Kemi Seba en RDC.
    • Chaos mondial : la nouvelle ère de la confrontation sans limites selon les puissances occidentales
    • En fait, l’Amérique s’est-elle déjà retirée d’Asie ?
    • Haïti VS l'occident - Ils vont rembourser tôt ou tard.
    • Faire cuire le gâteau iranien
    • Des surprises iraniennes attendent les Américains : voici ce que Téhéran leur réserve
    • L’Occident et le néonazisme de la nouvelle génération
    • Michel Collon : Derrière l'Iran, les BRICS sont visés
    • La guerre israélo-iranienne, la dernière étape avant l’Armageddon ?
  • Visiteurs | Utilisateurs
  • Connexion
  • Nos propositions
  • Sites recommandés

Invitations - Contacts - Abonnements - Participation - Remerciements

Á)  B) C)

Nous contacter:

    • Formulaire de contact 
      Adresse e-mail: info@hayti.net
    •  

 

  • San kontra